Emc, la multinational contre la piraterie avec sa base en Israël.

Il y a un lieu, dans la banlieue de Tel Aviv, où chaque jour un groupe de personne lutte contre le cyber crime, 24 sur 24, un task force toujours active composé par 130 personnes, aucun duquel sont ex hacker. On parle de la section de sécurité Rsa de la multinational Emc, qui se trouve dans la banlieue de Tel Aviv. Les Clients de Emc sont très marbrés, des banques jusqu’ à cytoiens particuliers, avec 500 mille opérations protégés et 2,3 milliards d’euro protégé pendant les activités de contrôle. Il y a seulement une façon pour règlementer le travail de ces 007 anti-piraterie, chaque second du travail est articulé par la quantité des attaques qu’ils sont capable de repousser. Au peu près, chaque minute on peut en compter aussi 57, c’est-à-dire un chaque second. Daniel Cohen, directeur de la structure, explique l’activité typique qu’ils doivent contraster chaque jour :

L’attaque commence avec l’envoi, fait par les pirats informatiques, d’un virus trojan ou d’un BotNet. Ces sont les Malware, le software virales, que s’enfonce dans l’ordinateur, Tablet et Smartphone. Une fois qu’ils sont dans la mémoire, ils peuvent être activés par les pirates d’identité en modalité isolé. Comme ça, quand l’usager va se connecté sur internet pour faire des opérations de Home Banking, par exemple, mais aussi pour faire des achats ou prénotions online, pendant les minutes d’attend de la connexion, le virus se réveille et commence à être en action. Dans quelque façon le virus donne un avis au ciberciminal que la transaction a commencé. Dans ce moment le server pirate (relay) se va insérer au même temps, pendant qu’il attend que sur l’ clavier commence à être digité le mot de passe et les clés d’accès personale. Et en temps réel l’identité digital vient capturer.

Le vol va durer un peu plus d’un second, l’usager n’a pas le temps de comprendre qu’est ce qu’il en train de passer, au marche noir après ils vendent des identités virtuels ou nombres de compte courant. Les transitions se passent dans le paradis fiscaux, dans les banques offshores, où les identités sont vendu pour 3-4 dollars, un carte de crédit est vendu pour 5 dollar, 10 euro si il n’arrive pas à avoir seulement le nombre de la carte mais aussi le CVV, le code de sécurité qui permis de faire les opérations de transitions.

Dans ce marche les personne qui travaillent sont ’’ les tapotes’’ de tout le monde beaucoup des organisations structuré, et peux, vraiment peux, sont capables d’offrir des espaces dans lesquels les changements arrivent. Un marche utilisé quelque fois aussi par les services d’ intelligence de la moitié du monde pour contrôler les activités illégales sur internet ou pour acheter avec vitesse des identités qui servent aux agents opératifs sur le champ.

Qu’est-ce qu’il faut faire pour éviter ces attaches ? Le conseil est le même il y a 20 ans, c’est bien avoir un bon firewell et des bons antivirus, ne quitter pas avec superficialité les dates personnels sur internet et se souvenir que le social Network, sont des lieux où la mémoire de certains dates est éternelle. Si, par contre, vous utilisez Linux, vous devez vous souvenir de regarder cet livre. La prudence n’est jamais beaucoup.